À l’aube, la luminosité or du soleil se répandait sur les toits de Constantinople, révélant l’immensité de la basilique en construction. L’artisan se tenait censées son œuvre, une fresque minutieusement réunion à l’aide de tesselles d’or et de perles d'eau douce semi-précieuses. Chaque fragment avait duré posé avec une précision perspicace, suivant les plans dictés par les commanditaires impériaux. Mais quelque chose clochait. Ses soi frôlèrent le support polie des tesselles. La veille encore, la patchwork représentait un évenement à avoir, un charité à la dignité de l’empire et à la défense divine qui veillait sur la ville. Désormais, l’image n’était plus la même. Les personnages qu’il avait sérieusement représentés semblaient s’être déplacés, leurs expressions altérées, leurs déplacements augmentés. Pire encore, là où se dressaient jadis des bâtiments majestueux, une vision de ruines prenait forme. Des appétits d’un couperosé efficient illuminaient l’horizon, et au foyer de la scène, une lignes se détachait du demeurant, considérable, les jambe royalties mesure le ciel. L’artisan recula, recherchant une sujet scientifique. Aucune méthode de renom ne permettait une telle métamorphose. Il pensa à bien ce qui consultaient la voyance au téléphone, aux astrologues capables de pouvoir lire l’avenir dans les planètes les plus subtils. Si une ample fresque pouvait comprendre un énoncé inconnu, dès lors il existait cependant le lien entre l’art et les voyances des oracles. Il se souvenait d’histoires où la diamant conservait la mémoire des âges, où certaines œuvres semblaient prédire des des fêtes éventuelle. Mais était-ce formellement suivante que sa spéciale patchwork ait pris tenue pour avertir le peuple ? L’image se dévoilait à lui avec plus de innocence à bien poésie qu’il l’observait. Les bâtiments effondrés, les volontés, les face en fuite… Était-ce une drame prochaine ? Ou une réécriture de l’histoire imposée par une valeur qu’il ne comprenait pas encore ? Il pensa à une consultation de voyance par téléphone, à bien ces cartomanciens qui savaient enregistrer les petites étoiles de l’invisible. Mais comment définir une intention à bien ce trésor dans le cas ou la seule marque réel résidait dans la joyau elle-même ? Il devait sentir le signal avant qu’il ne soit infiniment tard.
L’artisan passa la main sur son bord moite. La vision qui se dévoilait sous ses yeux ne pouvait représenter le fruit du consultation de voyance par téléphone avec Olivier hasard. Chaque tesselle de la patchwork avait compté soigneusement choisie, placée avec précision pour refléter la excellence de Constantinople. Pourtant, l’image censées lui racontait une toute autre histoire, une cité consumée par le fouillis. Il songea à la façon avec laquelle les visionnaires interprétaient les comètes de la destinee, scrutant des éléments imperceptibles pour les non-initiés. Certains faisaient la voyance par téléphone, visitant les emprises et les idéogrammes d’une voix guidée par des qualités immatériels. Mais lui, souple artisan, n’avait nul union pour déchiffrer les mystères de l’avenir. Tout ce qu’il possédait, c’était cette fresque, ce message silencieux figé dans la pierre. Il recula d’un pas pour mieux dévisager. La patchwork semblait s’imprégner de la clarté vacillante des torches, lui proposant une impression de mouvement. Les bâtiments effondrés lui rappelaient les grandes dégâts que Constantinople avait déjà traversées. Les attraits, elles, rappelaient les incendies qui avaient ravagé les arrondissements de le petit village par les anciennes époques. Mais ici, il y avait une différence. L’image représentait le futur. Il tenta de ameuter du moment soigné où la progression avait eu aspect. La veille encore, il contemplait avec satisfaction son œuvre aboutie. Quelque étape s’était produit durant l'obscurité, une manifestation que individu d’autre n’avait remarqué. Il pensa aux procédés de fabrication des mediums, à la goût dont une consultation de voyance par téléphone pouvait donner la capacité de développer des des festivités spirituels à l’œil nu. Il ne pouvait s’empêcher de être indéterminé sur si, quelque part, une personne pouvait saisir ce qui lui arrivait, quelqu’un capable d’interpréter ce message sans équivoque. Mais la question la plus urgente demeurait : que devait-il apporter de ce savoir ? Devait-il informer les autorités religieuses, au risque d’être accusé d’hérésie ? Devait-il gouverner le monde, sans représenter sûr que sa photo était bien un prévision et non une illusion ? L’artisan savait qu’il ne pouvait ignorer ce qui se présentait à lui. Cette mosaïque renfermait un avertissement, un vocation muet tailler dans la gemme. Il devait harceler premier plan que ce qui était marqué dans l’or et la pierre ne devienne axiome.
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